excision la barbarie des temps moderne

Publié le par william77160

Femme excisées   Femme mutilées


130 millions de femmes ont subit une excision en FRANCE,cette pratique est interdite est pourtant.On estime a 53000 le nombre de femme excisées.touchées dans leur intimité,certaine ont fait le choix d'avoir recours à la chirurgie pour reparer les dagats d' une pratique cruel et barbare pour le plaisir d'un seul hetre humain l homme




Les explications anatomiques de l'excision

 

De quoi s'agit-il ? L'excision simple consiste à enlever le capuchon qui recouvre le clitoris, le prépuce. L'excision complète consiste à couper le clitoris et les petites lèvres. Elle représente 80 % des cas. Il y a aussi l'infibulation, qui consiste à couper non seulement ces deux parties mais aussi à coudre ensemble les grandes lèvres, en ne laissant qu'un petit orifice pour l'écoulement des urines et des règles.


recit d'une femme excisée:

Bonjour a tous, Je suis Française d'origine sénégalaise, à l'âge de 8 ans j'ai été au Sénégal et je me suis faite excisée, depuis c'est un calvaire. Après plusieurs recherches sur la reconstruction du clitoris j'ai décidé de me faire opérer par le Dr F. en octobre 2006. Depuis c'est de pire en pire, j'ai très mal, je n'ai remarqué aucun changement, bien sûr j'ai été le revoir à plusieurs reprises mais il m'a tout simplement fait comprendre que ce n'était pas son problème...... Depuis douleurs incessantes, clitoris qui ne ressemble en rien à un « clitoris » et les rapports sont....

En ce qui concerne le coût de l’opération ne vous faite pas avoir…. Certes l’opération est remboursé par la sécurité sociale mais on vous demandera un dépassement d’honoraire de 300 euros ce qui n’est bien évidemment pas précisé sur les sites où il explique la marche à suivre …. Voila je recherche des personnes qui comme moi ont été opérées par ce fameux médecin qui nous a donné tant d’espoir pour un résultat aussi médiocre ou qui au contraire ont été très satisfaites par ce médecin.





Je me promenais sur votre site, je regardais un peu tout et n’importe quoi, et je suis tombée sur cette vidéo à propos de l’excision. Oui, bien sur j’en avais entendu parler, je savais plus ou moins de quoi il s’agissait. Lorsque j’ai entendu le mot "infibulation", je suis allée voir ce que c’était sur wikipedia. Je ne suis pas vraiment émotive mais lorsque j’ai lu l’article ma première réaction a été d’éteindre mon ordi et d’aller m’occuper. Mais j’avais tout ça en tête.
Comment l’homme peut-il être aussi barbare ? Comment peut-il torturer ses filles, ses soeurs, sa femme ? C’est à vomir. Les mots ne peuvent pas décrire le dégout que m’inspire l’idée même que ce genre de pratique puisse exister.
Je ne "mérite" pas vraiment la vie que je mène, c’est le hasard qui m’a fait naitre dans un pays qui ne mutile pas ses filles. Et je ne fais rien pour toutes ces femmes si démolies qu’elles deviennent des exciseuses. Parfois je me dis que c’est sans espoir, que l’homme est seulement bon à faire du mal.
Je ne pensais pas qu’un simple article puisse me bouleverser à ce point mais à l’évidence c’est le cas et j’avais envie de le dire.

L’excision : une mutilation génitale


 

De quoi s'agit-il ? L'excision simple consiste à enlever le capuchon qui recouvre le clitoris, le prépuce. L'excision complète consiste à couper le clitoris et les petites lèvres. Elle représente 80 % des cas. Il y a aussi l'infibulation, qui consiste à couper non seulement ces deux parties mais aussi à coudre ensemble les grandes lèvres, en ne laissant qu'un petit orifice pour l'écoulement des urines et des règles.

 


L’excision : une pratique ancestrale


 

Où pratique t-on l'excision ? L'excision se pratique dans vingt-huit pays d'Afrique et dans quelques tribus du Moyen-Orient. Et bien que la plupart de ces Etats soient musulmans, l'excision n'est en aucun cas d'origine religieuse. Aucun texte sacré n'oblige l'excision du clitoris, contrairement à la circoncision des garçons dans les religions musulmane, juive, chrétienne du Moyen-Orient et copte.

Une coutume très ancienne. Cette pratique date de bien avant l'arrivée de toutes les religions monothéistes. Elle aurait pour raison de garantir la "pureté" des jeunes filles dans le but d'un "bon mariage" et plus tard, qu'elles restent fidèles.

Un rituel pratiqué par les femmes. L'excision est pratiquée à tous les âges. Ce sont des femmes qui la pratiquent, on les appelle les exciseuses. Dans les zones rurales, elles utilisent des couteaux ou des lames de rasoir, sans aucune anesthésie. En ville, ce sont des sages-femmes qui officient, cette fois sous anesthésie. Mais même s'il y a moins de risque d'hémorragie ou d'infection, le résultat final est le même. Sans parler des douleurs que l'excision provoque sur le moment et par la suite, lors de l'accouchement, par exemple.

 


L’opération de restauration du clitoris


 

La chirurgie réparatrice. Depuis une dizaine d'années, une technique de réparation du clitoris après excision a été mise au point par le Dr Pierre Foldès, un chirurgien urologue français. Aujourd'hui, cette opération est pratiquée dans une dizaine d'hôpitaux. A la fin de l'intervention, le clitoris a un aspect très inflammatoire. Il y a toujours un œdème, c'est normal. Le nouveau gland clitoridien est rouge et gonflé mais au fur et à mesure de la cicatrisation, il va retrouver un aspect normal.

Des "sensations nouvelles". Le retour de l'acquisition sensorielle de cette zone apparaît entre la quatrième et la huitième semaine. Sachez néanmoins qu'en ce qui concerne la sensibilité "sexuelle", le fait de retrouver du plaisir est plus difficile à déterminer, car ces femmes n'ont pas de point de comparaison. Elles découvrent au fil des mois de nouvelles "sensations".

Un acte remboursé par la Sécurité sociale. L'opération de restauration du clitoris est aujourd'hui considérée comme un acte de chirurgie réparatrice, elle est donc remboursée par la Sécurité sociale.

 


Lutter contre l’excision : un devoir


 

Tolérance zéro. La lutte contre l'excision fait partie des grands programmes de l'OMS et de l'UNICEF. Cette dernière organisation a même fait du 6 février la journée internationale de tolérance zéro pour les mutilations génitales féminines.

Ce que dit la loi française. La loi précise que les mutilations sexuelles féminines sont considérées comme des crimes relevant de la cour d'assises. Les peines prévues par le Code pénal pour l'auteur d'une mutilation et pour les responsables de l'enfant vont de dix à vingt ans de réclusion criminelle. La loi s'applique aussi quand l'excision est commise à l'étranger, lorsque la victime est de nationalité française.

Ailleurs, en Afrique. Des représentants religieux et différents gouvernements tentent d'interdire cette pratique ancestrale, notamment par des campagnes d'information sur les méfaits de l'excision. Le changement des mentalités est malheureusement un processus très lent, or pour toutes ces fillettes, il est urgent d'agir.



execrables exisions dans des petits pays musulmans


  • Je veux dir encore, l'exision c'est malheureusement quelque chose qui se pratique encore.Les pays ou ça se paratique sont tous des pays musulmans, par exemple, l'exision de petite filles existe encore en mauretanie,en mali,en soudan et quelques autre payes même formemellement interdit par l'ONU, c'est une pratique execrable et honteuse cette ablation du clitoris, j'ai vu a un documentaire ou une petite fille de peut être 9 ans se faire exisée, elle etait couchée,plaquée sur le dos tenue par 4 femmes a chaque extremités du corps  2 a chaque bras et 2 a chaque pieds et une 5ième femme lui a coupée a vif sans anestesie son clitoris avec une vielle lame rouillée, la pauvre criait de douleur, son crie m'a fait mal m'a déchiré le coeur. Le documentaliste a interviewé un homme de la tribut, pourquoi ils pratique l'exision. sa réponse fut: nous somme musulmans, et chez nous les femmes ont pas le droit d'éprouver du plaisir pendant le sex et en plus comme ça on est presque sur qu'elle nous trompera pas (jamais). voilà sa réponse, il y a aucun pays chretien ou occidental qui pratique l'exision, mais parait-il ca se pratique aussi chez nous en France ou dans mon cas en Suisse par des familles justement venant de ces pays cité plus haut, c'est horrible,execrable,honteux,barbare,je trouve pas les mots pour décrire l'exision, certainement, l'exision n'a aucun rapport avec l'islam et c'est que des traditions tribales, c'est comme ça que me l'explique, S'il vous plait, éclairez moi sur ce sujet sur le pourquoi de l'exision. merci d'avance



    La pratique de l'excision, ou ablation du clitoris, est un crime : elle est extrêmement douloureuse et entraîne des infections, la stérilité, voire la mort.


    La Mutilation Génitale Féminine

    La pratique de l'excision, ou ablation du clitoris, est un crime : elle est extrêmement douloureuse et entraîne des infections, la stérilité, voire la mort.

    Les termes circoncision féminine et excision ont été très longtemps utilisés pour désigner les mutilations génitales féminines, mais pendant la Conférence sur les pratiques traditionnelles, Addis Abeba, 1990, les délégués ont considéré que les termes "circoncision féminine et excision peuvent prêter à confusion et pourraient ne pas décrire pleinement la diversité de cette pratique". Le terme de « circoncision » a pour effet de passer sous silence l’importance de la mutilation. Ils ont recommandé de les remplacer par mutilations génitales féminines (Rapport sur les pratiques traditionnelles, Addis Abeba, 1990). Ce terme a été adopté plus tard en 1996 par l’Organisation mondiale de la santé qui, après réflexion a jugé nécessaire de donner une définition plus approfondie et large pouvant regrouper les différentes sortes de mutilations. C’est ainsi que les mutilations génitales féminines ont été définies comme : toutes interventions incluant l’ablation partielle ou totale des organes génitaux externes féminins et/ou toute intervention pratiquée sur les organes génitaux féminins pour une raison non médicale (définition de L’OMS.). Elles ont été également regroupées en quatre types d’opération de gravité croissante." (réf 1)

    Quelque 2 millions de fillettes de 4 à 12 ans sont mutilées chaque année. Sous prétexte de préserver la virginité, exigée par les maris, et supprimer les pulsions sexuelles, ces fillettes subissent l'excision avec infibulation, ou bien après l'ablation totale des parties génitales externes, la couture des deux côtés de la vulve. Ce traumatisme qu'aucune religion n'impose et que seule la tradition perpétue est répété à chaque naissance quand on coupe à nouveau pour permettre le passage de l'enfant. Cette mutilation sexuelle est non seulement une discrimination notoire envers les filles mais l'une des pires violations de la Convention relative aux Droits de l'enfant. Elle entraîne, outre la peur et la douleur violente, des conséquences qui peuvent se révéler extrêmement graves dont des hémorragies prolongées, des septicémies, le tétanos, la stérilité et parfois la mort.

    En 1996, selon l'UNPD et la "World Population Prospects", 75 % du total des mutilations sont effectuées dans seulement 7 pays: Égypte, Éthiopie, Érythrée, Kenya, Nigeria, Somalie et Soudan. Certains de ces pays atteignent des taux records: en Somalie et à Djibouti, 98% des petites filles sont mutilées. En Égypte, au Burkina-Faso, au Mali, en Gambie, ce taux dépasse 80%. Au Tchad, au Bénin, au Togo, au Libéria, en Côte-d'Ivoire, une fillette sur deux subit cette mutilation.

    À la suite de l'immigration d'importantes communautés africaines, des mesures ont dû être prises dans différents pays industrialisés pour contrer cette pratique en la criminalisant. Tel est le cas de l'Australie, de la Norvège, de la Grande-Bretagne et de la Suède. Des projets de loi sont à l'étude en France, aux USA et au Canada.
    En Afrique, seul le Ghana possède à l'heure actuelle une législation spécifique contre l'excision.
    De nombreux autres pays ont une politique officielle déclarée contre cette pratique. Ce n'est pas le cas de la Côte-d'Ivoire, de la tanzanie, du Zaïre, de la république centrafricaine, de l'Ouganda, de la Guinée-Bissau et de la Mauritanie. En Égypte, aucune loi n'interdit l'excision mais elle est condamnée par le code pénal.


    (1) Texte cité de la thèse du docteur Kintega Boulma, soutenue à la faculté de médecine et de pharmacie de Casablanca, sur les "mutilations génitales féminines"
    Disponible en intégralité sur le site [ Tropique Santé ] - et dont les dessins ci-dessous sont inspirés.

     

    ET LA MUTILATION GÉNITALE MASCULINE, OU CIRCONCISION ?
    La pratique de l'excision masculine (excision du prépuce ou circoncision), est aussi une mutilation !

     

     



     

    Pour mieux comprendre ce qui est coupé et/ou cousu.
    Par l'image.



     

    Comparaison de la différenciation des organes génitaux féminins et masculins:

     

    Ebauche commune
    (chez l'embryon indifférencié)

    Différenciation masculine
    (chez le garçon)
    Différenciation féminine
    (chez la fille)
    Tubercule génital Gland Clitoris (C)
    Replis génitaux Gouttière urétrale Petites lèvres (B)
    Bourrelets génitaux Scrotum et urètre pénien Grandes lèvres (A)




     

                   

    A droite, une infibulation intermédiaire : une vulvectomie subtotale avec infibulation.

     


    Type de mutilation et terme médical correspondant (pour les femmes) :

    Organe Procédure Terme courant Terme médical
    Clitoris Excision du prépuce Circoncision Circoncision
    Clitoris Piquage ou scarification Sunna Incision
    Clitoris Excision du bout du clitoris Sunna ou sunna kashfi Clitoridectomie subtotale
    Clitoris Excision du clitoris Sunna Clitoridectomie
    Clitoris et petites lèvres Excision du clitoris et raclage des petites lèvres qui se referme en guérissant Sunna ou sunna magatia Clitoridectomie et abrasion des petites lèvres, provoquant leur fusion
    Clitoris et petites lèvres Excision du clitoris et des petites lèvres Excision Vulvectomie subtotale
    Clitoris, petites lèvres ou grandes lèvres Excision du clitoris, des petites lèvres et, dans certains cas, excision partielle des deux tiers supérieurs des grandes lèvres, suivie d’une suture des bords de la plaie Infibulation intermédiaire Vulvectomie subtotale et infibulation
    Clitoris et petites lèvres ou grandes lèvres Excision du clitoris, des petites lèvres et de toute la longueur des grandes lèvres, suivie d’une suture des bords de la plaie Infibulation pharaonique Vulvectomie totale et infibulation

    Et les mentalités ?

    La lamentable interview qui suit se passe de commentaires... Elle illustre assez bien pourquoi, au XXIme siècle, des petites filles sont toujours mutilées, quotidiennement, dans de nombreux pays d'Afrique. L'interviewé est un psychologue togolais, Ferdinand Ezembe, président-fondateur de l'association Afrique Conseil qui s'est fixée pour objectif d'exprimer les opinions des Africains sur des problèmes qui les concernent. Cette opinion d'un éminent professeur, probablement bardé de diplômes, est à considérer avec la distance qui s'impose car c'est l'opinion de la petite fille qui se fait couper le clitoris qui serait intéressante à entendre... Mais ni ce professeur, ni cette association, ne semblent s'en soucier...

    Afrik.com : Que pensez-vous de l'excision ?
    Dr Ezembe : Je voudrais tout d'abord dire que c'est un problème de femmes et que de fait en tant qu'homme je ne suis pas le mieux placé pour donner un avis.. (Dr Ezembe est président de l'association Afrique Conseils, on le répète !! ndlr.). Il est clair que l'excision a eu un sens à une époque donnée. Je vous fais cependant remarquer qu'on ne peut pas se permettre de juger une pratique de l'extérieur. La souffrance est bien sûr universelle mais il faut faire l'expérience de l'excision pour en parler. Dans ma profession, j'ai rencontré des excisées traumatisées et d'autres qui la revendiquaient tout en ne voulant pas l'imposer à leurs filles. Je ne parle pas ici de l'infibulation mais de la simple ablation du clitoris. J'ai reçu le témoignage d'une femme de l'Afrique de l'Ouest qui m'expliquait qu'elle avait une sexualité normale (On aimerait comprendre ce que "normale" signifie... ndlr). Elle avait d'ailleurs attendu l'excision avec impatience pour accéder à un lac où seules les excisées avaient le droit de se baigner. Elle m'a aussi expliqué qu'avant le grand jour, elle avait reçu une initiation sexuelle dont elle n'a pas voulu révéler le contenu puisque c'est un secret d'initiée. Il est normal que l'excision pose un problème dans un univers (le monde moderne) où elle est désacralisée. Si les risques médicaux sont certains, il est cependant des régions entières où les femmes sont en majorité excisées. Ce ne sont pas pour autant des régions où la population féminine est décimée. En outre ramener le débat sur l'excision à un problème sexuel est quelque peu farfelu. Les femmes frigides, ça existe ! Ne dénions pas cependant la possibilité d'un droit de regard même si il appartient aux femmes des ethnies concernées de décider. Ne nous érigeons surtout pas en donneurs de leçons.

    Afrik.com : Que pensez-vous de la position française ? Et de celle des hommes ?
    Dr Ezembe : La France attaque l'excision parce que c'est avant tout une pratique africaine. Elle a elle même abrité au 19è siècle, un éminent chirugien, le professeur de Broca, fondateur de l'école anthropologique française qui conseillait l'excision. J'attends le jour où des Africains pourront proscrire une pratique culturelle française sous prétexte de barbarisme. Les hommes et les femmes dans ce domaine se rejettent la responsabilité. C'est le serpent qui se mord la queue. L'excision est devenue un problème économique quand on considère le statut de l'exciseuse.

    Afrik.com : La position de l'ethnopsychiatrie telle que développée par Tobie Nathan vous paraît-elle probante en ce qui concerne l'excision ?
    Dr Ezembe : La démarche de Tobie Nathan est intéressante parce qu'il est parti de l'assertion que nul ne devrait s'ériger en donneur de leçons mais il s'est fait piéger par le travers que lui-même dénonçait. Il n'est pas le mieux placé pour parler de l'excision... C'est comme si un psychiatre togolais était l'expert en ce qui concerne des pratiques typiquement occidentales. Tout le monde trouverait cela aberrant. La chose semble moins évidente quand il s'agit de demander l'avis de Nathan sur l'excision... etc. etc. (on coupe ici ce lamentable bla-bla).

    [ Source : http://www.afrik.com ]

    DES TOMATES POURRIES POUR LE BON Dr. EZEMBE, ET UNE FESSÉE EN PLACE PUBLIQUE. VOILÀ TOUT CE QU'IL MÉRITE !

     

    24.08.2009

    L'excision des fillettes, STOP!

                                                                         excision 3.jpg excision2.jpg L’excision ou les mutilations génitales féminines (MGF) est le nom générique donné à différentes pratiques traditionnelles qui entraînent l’ablation d’organes génitaux féminins. Bien que plusieurs justifications soient données pour le maintien de cette pratique, elle semble liée essentiellement au désir d’assujettir les femmes et de contrôler leur sexualité. En effet les hommes historiquement en sont les initiateurs, et ce, sous le prétexte de préserver la fidélité des femmes.

    On estime à 130 millions le nombre de fillettes et de femmes, à travers le monde, qui ont subi MGF et qu’au moins 2 millions de fillettes par an risquent de subir la procédure sous une forme ou une autre. Actuellement, les MGF sont pratiquées dans 28 pays africains de la région sub-saharienne ainsi que dans la partie nord-est de l’Afrique. Des rapports indiquent également la pratique sporadique des MGF dans certains pays du Moyen-Orient et dans quelques groupes ethniques de l’Inde et du Sri Lanka. Des communautés immigrées originaires de pays où les MGF ont cours, se livrent également à cette pratique.
    Mais les interventions varient selon des facteurs tels que l’appartenance à un groupe ethnique et à une région géographique, l’OMS a regroupé les MGF en trois catégories.

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